Oh
peuple amérindien
Ils
t'ont tout volé
Et
tes terres
Et
les troupeaux de bisons
Et
tes mots !
Je
vois sur le net, ici et là
Tes
paroles de sagesse
Ancestrales,
je les vois
Que
certains s'approprient
Pour
une gloire virtuelle
Et
s'entendre dire :
« Tes
mots me touchent comme la brise caressant une fleur et le moindre
souffle de ta bouche fait vibrer mon cœur »
Et
répondre encore :
« Mes
mots Cachés au fond de moi Te parlent tout bas Quand je m’envole
pour étreindre ton émoi Que j’aime ci ou ça ».
Oh
peuple des temps derniers
Tant
de futilités !
Il
manque le souffle
Il
manque la vie
Qui se perd
Dans
ce processus mensonger.
Peinture amérindienne
Ce n'est peut-être pas aussi grave... que ça !
RépondreSupprimerNon, je ne dis pas que cela soit grave, ni que cela ne le soit pas.
RépondreSupprimerC'est le sens que cela tue...
RépondreSupprimerMais ne disais-tu pas que les mots n'appartiennent pas ?
RépondreSupprimerhttp://chou-genou-caillou.blogspot.com/2017/03/ondulation.html
Oh la vilaine ! Lollllllllll
RépondreSupprimerLes mots n'appartiennent pas... raison de plus pour ne pas prétendre que ceux d'autrui sont les nôtres, non ?
Je taquinais Miche, voici un lien reçu ce matin :
RépondreSupprimerhttp://www.universalis.fr/encyclopedie/plagiat/
Merci Anna.
RépondreSupprimerOui... avec cet article on n'est pas, mais alors pas du tout dans "les mots n'appartiennent pas", ce n'est pas encore de cela dont je parle.