Quand
je vous entends parler de vos dieux, en ces termes que vous
affectionnez,
Ô
dieu tout puissant, qui peut tout, qui sait tout, qui tantôt
récompense ou punit, et tantôt vous aime tel que vous êtes avec
tous vos défauts ou malgré, ou à cause de votre imperfection.
Quand
je vous entends en ces termes, je comprends le problème, jamais,
jamais vous n'avez été autorisé à penser par vous-même,
l'interdit a fini par prendre forme dans les esprits.
Il
n'y a que vous qui puissiez vous redonnez l'autorisation.
Quelle vieille recette, que ce dieu tout puissant.
RépondreSupprimerLolll, oui, aussi vieille que le monde.
RépondreSupprimerEt pas de recette universelle pour en sortir.