Nous
parlions de sourire...
Il
me semble que je suis intarissable sur le sujet
Parce
que déjà me reviennent tant d'images
De
sourires uniques à chaque fois
Le
sourire les yeux fermés, bouddhique
Le
sourire du tout petit enfant
Et
je pense à Sam qui souriait aux anges
Vraiment !
Le
sourire timide de mon père
Quand
l'enfant se montrait en lui
Galoches
et taloches, j'aurai aimé
Ne
pas être sa fille, mais sa mère
Pour
le protéger.
Tant
d'autres... qui viennent comme bulles
Remontant
des tréfonds de la mémoire
Et
puis, le tien de sourire accroché dans le ciel
Vacuité...
transparent comme l'être en toi.
Les gens sont tristes pourtant !
RépondreSupprimerComment fais-tu pour les voir sourire, à moins que ce ne soit pas les mêmes ?
Oui je la sens cette tristesse, c'est la forme la plus aiguë d'inquiétude quand elle devient sourde.
RépondreSupprimerTu demandes si ce sont les mêmes, oui, oui ce sont les mêmes... en diagonale, au cœur, au travers, au bout, peu importe ce qu'on en dira, ce sont les mêmes.
Comment faire Miche avec cette tristesse ?
RépondreSupprimerQuand elle se présente à visage découvert la prendre contre soi, comme on berce un tout petit enfant apeuré.
RépondreSupprimerQuand elle se cache, lui parler au-travers de la porte. "Je suis là, petit cœur, je suis là".
Quand elle s'est perdue en des faux semblants, y'a rien à faire...
Douce soirée chez toi Anna.