mardi 20 juin 2017

Jamais le soleil ne voit l'ombre

Il y a un lien très fort entre le besoin de croire
Et le miracle.

N'a-t-il pas été inventé pour "ce qui" a besoin de preuves ?
Autant dire qu'il est produit par l'esprit dans ce désir
Et aussi le désir, le besoin, de maîtrise.

Déconnexion d'avec son réel pouvoir de créateur
L'esprit créateur n'est pas dans la maîtrise
Sans cesse il donne à mourir et à naître.




La cour des miracles de Gustave Doré

4 commentaires:

  1. un article sur la cour des miracles :
    On se représente aujourd’hui l’expression « cour des miracles » comme un lieu unique à Paris ayant été mise en lumière par Victor Hugo, dans son roman Notre Dame de Paris. Il y décrivait la cour des miracles comme un Pandémonium, une véritable « verrue à la face de Paris ». En réalité le terme de cour des miracles dépasse le cadre de Paris puisque chaque ville en possédait une ou plusieurs.
    D’où vient l’expression « cour des miracles » ?
    À l’origine la cour des miracles représentait une zone de non droit regroupant les reclus de la société du Moyen Âge. On trouvait donc prostituées, voleurs, vieillards, mendiants, infirmes, le tout formant un bel opéra d’hystérie collective. Les gens de l’époque évitaient donc de s’y aventurer et ces lieux perturbaient gravement la vie à Paris.
    La signification de cour des miracles provient du fait qu’une fois la nuit tombée ce beau monde disparaissait comme par magie. Ainsi les pseudos estropiés retrouvaient toutes leurs capacités physiques et les vieillards rajeunissaient … miraculeux non? La cour des miracles n’était donc qu’un théâtre destiné à apitoyer les bourgeois afin d’avoir l’aumône. Pour Victor Hugo : « La Cour des Miracles n’était en effet qu’un cabaret, mais un cabaret de brigands, tout aussi rouge de sang que de vin ».

    https://www.pariszigzag.fr/histoire-insolite-paris/les-cours-des-miracles-a-paris

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  2. “Le Livre des miracles” : merveilleux prodiges enluminés de la Renaissance
    Fac-similé d’un manuscrit allemand, “Le Livre des miracles”, édité à Augsbourg vers 1552, répertorie sous la forme de très spectaculaires illustrations colorées tout ce que le monde terrestre a vécu comme manifestations divines ou surnaturelles, de la Genèse à l’apocalypse de Saint-Jean, avec entre les deux les témoignages profanes recueillis par les chroniqueurs de l’Antiquité à la Renaissance.

    http://culturebox.francetvinfo.fr/livres/beaux-livres/le-livre-des-miracles-merveilleux-prodiges-enlumines-de-la-renaissance-148775

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  3. Quand même je me demande si les "miracles" ne sont pas des manifestations de la part invisible du monde ?
    Une autre source d'information ?

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  4. Mais bien sûr, ai-je dit le contraire ?
    Bien sûr que c'est la part invisible, inconscient, subconscient, le grand soi, etc. c'est toujours le créateur en soi qui se manifeste. Mais pourquoi le fait-il ?

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