Ce
n'est pas qu'il y aurait des solutions
C'est
seulement qu'il n'y a pas de problèmes.
Un
exemple, je participais à une discussion sur l'éducation, « Sur la nature sauvage des enfants & "Scolariser le monde" par Carol Black ».
Peu de temps avant j'avais visionné un reportage faisant écho
à ce qui se disait-là concernant la volonté des spécialistes de
l'éducation à formater les cerveaux.
« Au début du 20ème siècle, les théoriciens de l’éducation étaient assez transparents sur le fait qu’ils concevaient des écoles en vue d’adapter les enfants au nouvel ordre industriel. Ces pédagogues soutenaient que les enfants devaient perdre leur nature sauvage "primitive" et développer des manières "civilisées" telles que la ponctualité, l’obéissance, l’ordre et l’efficacité. »
Je
propose donc la vidéo avec ces quelques mots :
Excellent,
l’homme du livre qui se convertit au chant de la nature !!!
Ainsi
donc cet homme, un missionnaire, avait décidé d’aller à la
rencontre de la Communauté Primitive, les Pirahas d’Amazonie pour
leur enseigner la "bonne parole". Il avait l’intention
d’apprendre leur langue pour traduire la bible.
Mais voilà qu’en apprenant la langue des Pirahas, il se passe un miracle, son cœur s’ouvre, et il comprend : « Le dilemme du missionnaire est le suivant, pour que le message passe il faut déjà les persuader qu’ils ont tord. Ils doivent être perdus pour qu’on puisse les convaincre qu’ils ont besoin d’être sauvé. J’ai fini par comprendre que les Pirahas étaient déjà heureux, ils ne croient ni à l’enfer, ni au paradis, alors enseigner la parole de dieu aux Pirahas c’est comme proposer de la glace aux esquimaux »
« On ne veut rien de là-haut, dit le sage Pirahas. Dieu est un étranger, on ne le connaît pas, on ne veut pas de lui »
Ouahhh, voilà bien en un mot dit simplement le problème majeur avec ce dieu séparé de sa création, dieu tout puissant, dictant ses lois. Enfin… c’est ce qu’ils disent les grands docteurs des églises monothéistes. Comme quoi le concept d’un dieu unique a bien été conçu pour asservir les hommes."
Mais voilà qu’en apprenant la langue des Pirahas, il se passe un miracle, son cœur s’ouvre, et il comprend : « Le dilemme du missionnaire est le suivant, pour que le message passe il faut déjà les persuader qu’ils ont tord. Ils doivent être perdus pour qu’on puisse les convaincre qu’ils ont besoin d’être sauvé. J’ai fini par comprendre que les Pirahas étaient déjà heureux, ils ne croient ni à l’enfer, ni au paradis, alors enseigner la parole de dieu aux Pirahas c’est comme proposer de la glace aux esquimaux »
« On ne veut rien de là-haut, dit le sage Pirahas. Dieu est un étranger, on ne le connaît pas, on ne veut pas de lui »
Ouahhh, voilà bien en un mot dit simplement le problème majeur avec ce dieu séparé de sa création, dieu tout puissant, dictant ses lois. Enfin… c’est ce qu’ils disent les grands docteurs des églises monothéistes. Comme quoi le concept d’un dieu unique a bien été conçu pour asservir les hommes."
Quelqu'un
vient, et dit : Ce
sage Piraha est un xénophobe. “Mais foutez le dehors, ce Dieu ! On
est plus chez nous ici !”
- Lololllolo,
c’est rigolo ce que vous dites là, mais c’est faux !
Le missionnaire a été accueilli, on lui a ouvert les portes, sauf que les Pirahas ne se sont pas laisser triturer les méninges. Un peu comme dire : “Hé mec, tu viens, on devient potes, mais tu nous fous la paix avec tes croyances !”
Le missionnaire a été accueilli, on lui a ouvert les portes, sauf que les Pirahas ne se sont pas laisser triturer les méninges. Un peu comme dire : “Hé mec, tu viens, on devient potes, mais tu nous fous la paix avec tes croyances !”
C’est une bonne base pour
entrer en relation avec quelqu’un, assez rare, même très rare !
Cliquer sur le titre de l'article de Carole Black pour le lire
Comment peux-tu dire qu'il n'y a pas de problème ????
RépondreSupprimerMais enfin, n'est-ce-pas évident ?
RépondreSupprimerLes problèmes nous les créons, nous les créons encore en cherchant des solutions à ces problèmes dont nous sommes la cause.
Exemple : https://youtu.be/6Id4JFLYJsc
Faut-il rester les bras croisés ?
RépondreSupprimerJe n'ai pas fini de regarder ce reportage... je reviendrais après...
RépondreSupprimerAnna, que tu aies ou non visionnée la vidéo (https://youtu.be/6Id4JFLYJsc), tu as ta propre réponse.
RépondreSupprimerIl a le faire, il y a ne rien faire, il y a le "non-faire"... chacun dirige ses pas vers ce qui fait sens pour lui.