dimanche 20 août 2017

La question de choisir

Bien sûr que ce n'est pas facile
Et c'est tellement plus facile 
D'aller le chemin de l'amertume
De la défiance
De la médisance.


Perdre le goût du merveilleux
C'est se condamner à errer.





2 commentaires:

  1. La question du choix soulève la question du libre-arbitre que nous ne possédons pas, cela a déjà été dit !

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  2. Quand on me dit que le libre arbitre n'est pas possible, que nous sommes faits par la chimie, la biologie, par nos conditionnements sociaux, etc. quand on me dit cela, au-début je suis abasourdie, triste, parfois en colère... et puis voilà, un peu d'intelligence dans ce monde de brutes :
    « Dis-donc toi ! Toi qui dit que ce niveau de liberté par le choix n'existe pas, que fais-tu disant que ce n'est pas possible ? Crois-tu que tu fasses ainsi montre, d'une acuité visuelle toute particulière, crois-tu que tu sois plus au fait de la vérité, crois-tu que... ???
    Non, tu exprimes ton propre libre-arbitre qui est de nier ton propre pouvoir. A moins que tu ne nies celui d'autrui, tout en affirmant le tien.

    Bien à vous Anonyme

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