Il
y en a qui méritent et d'autres qui déméritent
C'est
comme ça au pays des censeurs
Moi,
j'ai démérité, des centaines, des milliers
De
fois, on me l'a signifié
Qu'importe !
Que
pourrais-je faire d'autre ?
Me
rendre conforme ?
Conforme
à quoi, à qui ?
Dans
quel état ?
De
peur, d'angoisse de démériter encore ?
Alors
oui, c'est un choix
Le
choix d'aimer sans attente de réciprocité.
Rogier Van Der
Weyden
Le retable du jugement
dernier
Oui, l'amour libère.
RépondreSupprimerEt pourtant tant d'esclaves de l'amour !
Ah, c'est que ce n'est pas amour... C'est curieux ces mots qui disent une chose et son contraire.
RépondreSupprimerDe quoi pouvons-nous être esclaves ?
De nos passions, de nos désirs, de nos peurs, et l'amour nous guérit de tout ça, d'où cette impression de libération...
Tout cela est amour, à des niveaux différents de conscience, de réalisation.
RépondreSupprimerCertes les passions attachent, mais ainsi elles entraînent le travail, et ainsi de suite.
Je comprends... on peut décider de trancher, on peut décider de ne pas juger, on peut écouter au-delà des mots... oui, tout cela est possible.
RépondreSupprimerLe véritable amour nous libère de cette attente d'une forme de réciprocité et bien souvent le fait de ne rien attendre attire à nous d'autres amours véritables
RépondreSupprimerC'est encore une attente "des amours véritables" :)))
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