jeudi 28 septembre 2017

La porte de derrière...

Quand le dehors devient par trop bruyant
En tellement d'incohérences, non-intelligence
Et méchanceté aussi, celle qui autorise
Les cruautés et les racismes...


Je ferme tout, je tire les rideaux
J'ouvre alors la porte de derrière
Sur la petite cour, enfermée de tôles
Mais, pour qui voit, la diagonale la traverse.


Alors l'esprit chevauche cette ligne
S'ouvre au passage, glissement hors du temps
Sur un rayon de soleil qui claque les voiles
D'une embarcation de lumière.





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