Je
la voyais si distinctement, assise sur une souche à la croisée des
chemins
Que
faisait-elle assise là ?
Elle
ne semblait pas attendre, je ne percevais pas de tension en elle
Mais
il y a des attentes sans objet, alors peut-être…
Elle
ne semblait pas perdu, ni dans l’inquiétude.
Pourtant
à la croisée des chemins, n’y-a-t-il pas un choix à faire
Pour
diriger ses pas ?
Celui
qui sait, ne fait pas de choix… c'est donc qu'elle savait !
Alors pourquoi
restait assise là ?
Une
brume s’est levée, enveloppant le paysage de volutes gris-bleutées
Un
coup de vent soudain a déchiré le voile
Elle
n’était plus là…
Michel Ogier
Très touchée par ton texte.
RépondreSupprimerDouceur vers toi, Ariaga
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