mercredi 20 décembre 2017

Une affaire de non-droit, la projection

Je n'ai pas le droit de projeter l'ombre de mon inquiétude
Sur ceux que j'aime
Sur ceux qui marchent avec moi
Sur ceux qui croisent mon chemin
Qu'ils soient devant, qu'ils soient derrière
Je n'ai pas le droit de faire ça !


C'est alors que...
L’inquiétude cesse. 



4 commentaires:

  1. Ok, je suis d'accord, mais pourquoi n'ai-je pas le droit de le faire ? Après tout je peux le faire dans le silence .

    RépondreSupprimer
  2. Parce que cela agit même dans "ton silence" qui est alors ce que j'appelle de la taisure, taire n'est pas le silence.

    Tout est mental, tout est information, tout est énergie.
    Tu sens cet état de tension en toi, tu dis c'est pour pour mon enfant que je m"inquiète, ça y est tu as projeté sur lui l'ombre de ton inquiétude, et déjà cela agit.
    Si tu vois cela, en toi, si tu vois ce mouvement vers l'autre...
    C'est fini ! Voir n'est ni juger, ni justifier.
    Ce n'est pas se taire qui consiste à continuer à s'inquiéter, c'est pour mon enfant que je m'inquiète dira-t-on dans ce silence, alors dans le ciel de l'enfant de gros nuages noirs qui ne sont pas les siens mais qui néanmoins l'obscurcissent.
    J'espère que c'est clair, ce que je veux dire...
    Bonne fin de journée à toi, Anna... cela faisait longtemps..;

    RépondreSupprimer

Merci de vos commentaires