Quand
le temps s’absente
Qu’il se fait plus léger que l’air
Quand la respiration se fait ample
Que l’on ne sait plus où elle commence
Où elle finit
Que peut être c’est le monde qui respire là
Comme un roulement de tambour
Qui traverse la vaste plaine.
Qu’il se fait plus léger que l’air
Quand la respiration se fait ample
Que l’on ne sait plus où elle commence
Où elle finit
Que peut être c’est le monde qui respire là
Comme un roulement de tambour
Qui traverse la vaste plaine.
Comme un roulement de tambour tes mots !
RépondreSupprimerolllololol
RépondreSupprimerBisous !
É uma optima janela
RépondreSupprimerquer à noite ou dia
ter aberta um janela
para o imenso mar da Poesia.
C'est une super fenêtre
soit la nuit ou le jour
ont ouvert une fenêtre
à l'immense mer de la poésie.
oh oui ! merci pour ce prolongement tout en ouverture...
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