Si nous avions autorisé nos enfants
Et nous enfants autorisés
A grandir dans la connaissance
Que sur cette terre nous ne faisons que passer
Nous aurions compris le sens de ce passage
Nous débarrassant de la peur ancestrale de mourir
L'inconnu ne serait plus ce mur
Lamentations !
L'inconnu, un voile, léger au vent...
Le vent, musique pour les instruments accordés
Tous les corps se parlant
En des racines bien plus profondes
Que celles des nationalités, des cultures
Des sociétés, des familles
Les maisons seraient restées des toiles vibrantes
Et la planète libre en toutes ses couleurs.
Oh doux chant de mon amour
Chaque fibre tu caresses
Les murs vont tomber
Dans un grand fracas
Après quoi, plus jamais cette erreur
De vouloir durer, faire durer
Juste passer...
Alex Alemany.
“Les choses visibles sont éphémères, les invisibles sont éternelles.”
RépondreSupprimerde saint Paul
... puisqu'elles sont invisibles, oui !
RépondreSupprimerNous ne faisons que passer, c'est vrai.
RépondreSupprimerCertains laissent des traces qui durent longtemps.
D'autres sombrent dans l'oubli.
Toute l'humanité est là.
Merci pour cette page, Miche, et merci pour ce magnifique tableau, j'aime beaucoup.
Passe une douce journée.
De cet oubli il n'est rien...ce n'est qu'amnésie pour les esprits conditionnés...
SupprimerDe ces traces, toutes s'effacent...
Que ta journée soit belle, belle, chère Quichottine.