A
l’heure où les parfums exhalent
Suaves
les orangers, pamplemoussiers
La
terre et les herbes mêlées par le chien
Qui
fourrage
Vénus
parle fort à une toute petite.
Ah,
voilà qu’elles sont trois
En
un triangle équilatéral
A
la pointe de la montagne
Enveloppée
de brume légère.
Tout
est si doux, si paisible
Même
les mots ne dérangent pas
Ils
se font caresses
Ils
murmurent amitié aux grand filaos.
Cette
déclaration parle de rencontre
Du
bonheur de se toucher
En
dessous la peau
Dans
cette nuit qui rassemble.
Un
vol de chauves-souris...
Inspire
et expire se marient
Et
là, tendre chaleur
Irradie
C’est
si beau, si grand.
Pourquoi
en garder le secret.
Le
dire tout simplement.
... la Beauté la Douceur la Chaleur le Silence au crépuscule ...
RépondreSupprimerdouce journée
... oui, douce journée à toi Saby. Merci
Supprimer