Il
y avait ce rythme, de porter
Et
être portée
Le
pas lourd, et le pas léger
La
tige droite et le regard touchait l’horizon
La
tige ployée et le soc labourant la terre.
Le
temps n’est que pour le rythme des vagues
Non
séparées en l’onde qui les fait
A
aucun moment ce n’est une question de choix
Toujours
une question d’accord
Respirer
et être respiré.
Vouloir
l’un, vouloir l’autre
C’est
le conflit de l’esprit
Là
où peut-être le penseur s’est séparé
Pour
n'en faire qu'à sa guise
Enfin il le croit !
C'est un très beau poème... et une réflexion qui me touche énormément.
RépondreSupprimerMerci pour tout, Miche.
Passe une douce journée.
merci à toi... douces pensées.
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