De la cascade à ce sommet
De cette trouée dans la grisaille
A ce papillon venu sécher ses ailes, si près…
Les
yeux se posent, sans effort
Ils
savent la juste distance
La
bouche se tait
En
l’espace qui s’ouvre, le corps se dresse
Léger
comme l’air, il avance.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos commentaires