Nous
voici donc devant les conséquences
De
notre propre éloignement de la nature.
Pas
seulement que nous ayons construit des villes, des cités
Pas
seulement que le chant des oiseaux nous est devenu étranger
Aussi
nous avons fuit en nous le mouvement du vivant
Privilégiant
la quête du plaisir, refusant la souffrance… la mort.
Notre
monde est devenu si laid, nos vies n’ont plus de sens
Enchaînés,
dénaturés comme ces animaux que nous avons domestiqués.
Voir
que nous sommes ce monde…
Est à coup sûr le premier pas
Voir
n’est pas juger
Voir
est une compréhension sans conflit.
Ni
intérieur, ni extérieur
Tout communique dans toutes les directions
La
sagesse toute accomplissante
La
puissance du bras, de la flèche, et de la cible unifiés.
Sammy Slabbinck
Oui, c'est une condamnation à la quête incessante du plaisir, entraînant, enchaînant au toujours plus
RépondreSupprimerOui, impossible à satisfaire ! C'est le samsara !
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