Ceux qui cherchaient à fuir
Ceux-là même qui avait répandu
Epandu les poisons et autres misères
« Si non, on a rien ! Après moi le déluge ! »
Furent rattrapés !
Ohhh les cris !
Pire que les cochons qu'ils égorgeaient
Au petit matin
Mais là, point d'aube à venir
Quand la nuit fut venue.
"Enfants vous n’avez plus de rose ni de plume ni de chapeaux
RépondreSupprimerA qui la faute, à qui la cause s’il n’est plus de fleur ni d’oiseau ?" ici
Hé oui !!!!
SupprimerDire qu'il suffirait qu'ils s'arrêtent et qu'ils voient... l'étendu des dégâts.
RépondreSupprimerOui... VOIR c'est mettre un terme.
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