Ce désir de continuité qui a produit
Cette surenchère de la consommation
Sans que jamais satisfaction soit atteinte
La soif, toujours la soif
Qui engendre le plus, toujours plus.
Ainsi il a été dit et promis
Le corps meure mais l'âme survit
Nombre de croyances s'écroulent
Là, où l'évidence de la non-continuité
Éclaire nos pas.
Là où la porte s'ouvre aux frôlements
De l'inconnu...
Déjà publié ici
Unkown
Oui, ce si beau mystère tendu là que la raison ne peut jamais connaître...
RépondreSupprimer:))))
C'est vrai, JAMAIS !
Supprimer