Là,
où je n'existe pas...
Il
vaut mieux disparaître
Que
d'être l'objet de tant de mépris
Mais
aussi on peut rechercher ces situations
Pour
toucher "là, où je n'existe pas".
C'est
une terre vierge
Une
terre sauvage
Où
aucun mot n'a encore été prononcé
Les
forces se rencontrent et c'est un mariage
A
chaque fois.
Ni
commencement, ni fin
Illusion
d'un commencement et d'une fin
Illusion
de l'achevé, de l'accompli.
Descendre
dans la vallée sans se presser
On
y sera toujours bien assez tôt
Rallonger
le chemin en passant par les vergers
Ceux
d’antan où les abeilles butinaient
Et
les papillons et tous les insectes
Et
ce monde de la terre dans l'entrelacs des racines
Un
oiseau chante sur la branche
Le
voici sur cette autre branche
Personne
pour trouver à redire.
Il
n'y a que Voir, et c'est entendre et c'est frémir
Onde
bleue où se marient la lumière blanche et la lumière noire.
Déjà publié ici
Ford Madox Brown (1821–1893)
Ah oui, je m'en reviens aussi... tous les jours !
RépondreSupprimerOui...
SupprimerHeureuse de découvrir ce blog
RépondreSupprimeret cette oeuvre
Vous êtes la bienvenue.
SupprimerMerci de votre visite.
https://www.youtube.com/watch?v=EhaY_G39Yrc
RépondreSupprimerBonne journée :)))
Ollolllol, belle journée mon ami !
Supprimeren musique toujours !!!
Excelent!
RépondreSupprimerMerci à toi...
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