Les
chiens couraient
Un
mouvement furtif à gauche
Dans
les feuillages épais
Ce
sont ses yeux fixés sur moi
Que
je découvre en premier
Doucement
je m’approche
Il
tourne de l’autre côté de la branche
Silencieux
tellement silencieux
Nous
nous déplaçons au rythme de son attention
«Plus
une langue nous semble muette ou inexistante et plus nous sommes
enclins à considérer que ce n'est pas vivant.
Les
pierres aussi le sont, elles parlent. »
Ron
Uribe
Oui !tout est vivant et communique !
RépondreSupprimerIl n'y a que nous (enfin certains) pour l'ignorer !
Le penseur déconnecté en l'homme fait cela, ignorance déguisée en savoir.
SupprimerBine, Miche!
RépondreSupprimerNoapte bună!
Belle journée à toi :)
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