« Le microbe n'est rien, le terrain est tout »
Ça il n'en ont pas fait leur adage, c'est sûr !
Et soignant tous ces gens, ils continuent à polluer
Le terrain, créant ainsi toutes les maladies à venir
De quoi, bien s'enrichir.
Aie confiance ! confiance...
Béchamp a raison, le microbe n'est rien, c'est le terrain qui est tout, Pasteur est fou !
RépondreSupprimerClaude Bernar
Le maître et l'élève...
Supprimer"Pasteur suit ses idées et il veut y soumettre les faits, moi, je suis les faits et je cherche à en faire
sortir des idées sans violence et d'elles-mêmes. Pasteur veut diriger la nature; moi, je me laisse
diriger par elle ; je la suis... Moi, je suis le secrétaire de la nature. Pasteur et les a prioristes
veulent lui dicter ses réponses selon leurs idées"
Le différend Pasteur/Bernard
Un débat de clôture pour la biologie du XIXème siècle ?
Par Jacques Michel
http://greph.sciencespo-lyon.fr/uploads/articles/michel_LeDifferendPasteurBernard.pdf
Merci pour le partage du lien fort intéressant et mille excuses pour le nom mal orthographié de Claude Bernard...
SupprimerComme tout est difficile en ce bas monde, trouver un équilibre, des parcelles de vérité disséminées un peu partout, ne pas faire souffrir...(La femme de Claude Bernard est devenue "une militante virulente de la cause animale et de la SPA naissante, au moment même où Claude Bernard faisait faire de gros progrès à la médecine via les expérimentations animales. En sus de ces divergences de vue, leur mariage pâtit du décès de plusieurs enfants en bas âge : parmi les quatre enfants qui naissent de leur union, seules deux filles atteignent l'âge adulte : Jeanne-Henriette (1847-1923) dite Tony, et Marie-Louise (1849-1922) qui ne voient que très peu leur père. Restées célibataires, elles consacrent leur vie au soin et à l'accueil d'animaux dans leur maison de Bezons (Val-d'Oise), en compensation des animaux sacrifiés par leur père. Le 22 août 1870, le couple Bernard se sépare officiellement.")
Oui, c'est un travail ...
SupprimerMerci Jacqueline.
Oui, nous sommes cette terre que nous empoisonnons...
RépondreSupprimerIls polluent le "terrain" extérieur et c’est la terre, et le "terrain" intérieur, notre corps.
Oui, Mala, nous ne devrions pas leur permettre de faire ça !
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