Quand
le temps s’absente
Qu’il
se fait plus léger que l’air
Quand
la respiration se fait ample
Que
l’on ne sait plus où elle commence
Où
elle finit
Que
peut être c’est le monde qui respire là
Comme
un roulement de tambour
Qui
traverse la vaste plaine.
Poétique vive insistance, nature pressante, pour autant d'instantes sollicitations.
RépondreSupprimer:)
SupprimerOui, le monde respire-là.
RépondreSupprimerIl le fait !
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