Je
prends ta peine contre moi
Doucement, je la berce
Qu’elle t’oublie un peu
Qu’elle t’oublie un peu
Que tes pas soient légers.
De lâcher prise, en lâcher prise, la vie comme un ruisseau
Nous avons, déjà fait cela, des milliers de fois
Sans plus s’éloigner, ni s’approcher de notre maison
Elle est là, de toute éternité…
Nous avons, déjà fait cela, des milliers de fois
Sans plus s’éloigner, ni s’approcher de notre maison
Elle est là, de toute éternité…
Comme un tout petit enfant...
RépondreSupprimerOui...
Supprimer