Alors,
on n'est plus sorti de la maison
Le
soleil au travers de la vitre
La
pluie sur la vitre en bourrasques
Et
nous dedans, dedans cette bulle.
Ce qui était étrange
C'est
que c'était tellement vivant
Le
dedans plein de lumière
Plus
de temps s'écoulant
Plus
de froid, plus de chaud.
Cette lumière...
Elle
n'éblouit pas
Ne
projette aucune ombre
Ni
sur les murs, ni sur les cœurs
Elle
Est.
L'image entre le dedans et le dehors, le dehors est toujours un dedans ...
RépondreSupprimerAh merci Mala, d'éclairer ces mots... oui, quelque chose du paradoxe du vivant...
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