Il
n'y a rien de passif en ce monde, si ce n'est l'esprit humain pris
dans ces idéaux contradictoires. Aspirer à la tranquillité de
l'acquis, à la sécurité (que rien ne change), et dans le même temps aspirer au
partage, à l'équité (s'ouvrir à l'inconnu).
C'est
bien la contradiction non dépassée, non questionnée, à laquelle
on se soumet, qui rend passif, esclave et bourreau.
Tchina :
engeance d'esclave dominé par l'instinct de survie et la peur
de l'inconnu
une
levée de voile qui prends du temps ... une fuite en avant dans les
plaisirs fugaces pour oublier la peur de mourir, de souffrir ...un
sourire en partage
DesMots :
La peur de l'inconnu, qui dissimule la peur de perdre le connu.
Comment
avoir peur de ce que l'on ne connaît Pas ?
De la passivité à l'inertie...
RépondreSupprimerIl n'y a qu'un pas, oui !
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