A l’heure où les
parfums exhalent
Suaves les orangers,
pamplemoussiers
La terre et les herbes
mêlées par le chien
Qui fourrage
Vénus parle fort à
une toute petite
Voilà qu’elles sont
trois
En un triangle
équilatéral
A la pointe de la
montagne
Enveloppée de brume
légère
Tout est si doux, si
paisible
Même les mots ne
dérangent pas
Ils se font caresses
Ils murmurent amitié
aux grand filaos
Parlent de rencontre
Du bonheur de se
toucher
En dessous la peau
Dans cette nuit qui
rassemble
Un vol de
chauves-souris
Inspire et expire se
marient
Et là, tendre chaleur
Irradie
Si beau, si grand
Pourquoi en garder le
secret ?
Le dire tout
simplement.
F.Lamy
C'est magnifique, ça résonne ....
RépondreSupprimerMerci amie Sil
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