Ce creux de paix
Lac si profond, si
vivant…
Et la tension
nécessaire
Pour que Vie soit.
En préférer un et
rejeter l’autre
Ramper dans le tunnel
Marcher vers la
lumière
Au bout, tout au bout
Sortir dans la
clairière, vaste comme le ciel
Lumineuse comme
l’astre premier
Et retomber encore.
Les voir se succéder,
et disparaître l’un dans l’autre
Au plus profond, cette
incommensurable "présence" de toute éternité
Et c’est elle qui,
jaillissante, se ramifie, se multiplie
Fait le loup et
l’agneau, et non pas le bien et le mal.
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