Quand
il est mort
Que
toutes tensions
Ont
quitté son corps
Le
soir venu …
Le
jour suivant...
Ce
parfum si léger.
Parfum
fleuri
Parfum
des roses ...
C'était
comme si...
Toutes
les fleurs, muguets, violettes, coucous aussi
Qu'il
avait, durant des années, ramenées à la maison
Dans
sa grosse sacoche d'agent SNCF
Pour
elle, son aimée, sa tendre, sa dulcinée
Se
manifestaient en ce précieux instant.
Elle,
mère, ne sentait pas
« Ah
bon ? Tu crois ? »
Non,
je ne crois pas, c'est elle qui croit en ce dieu supérieur
Moi,
je sentais, je percevais cette effluve "parfum de rose"
Comme
enfant, je voyais sa joie à lui et son indifférence à elle
Le
nez bouché, mais, là, elle écoutait.
« Oui,
je t'assure, cela persiste, un parfum de roses
- Ah bon... »

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