Voilà
le propre de l'homme
Parler
en tant d'ignorance
D'un
monde dont il ne reconnaît rien
Avec
son gros cerveau déconnecté
Qui
le fait juge et parti
Au
nom d'idéaux
Qui
ne le concernent même pas
Qu'il
s’accommode de toutes ses productions
En
tant d'incohérences !
Mais
c'est assez de dire
Ce que nul ne peut ignorer
Le
chant m'appelle
Le
chant s'insuffle
Toute
entière en lui.