« J'ai
décidé », peut être devrai-je dire : « Cela a
décidé »... Mais le sujet est si présent dans cette prise de
conscience, que d'éviter le "Je", serait fausse modestie, une forme
très hypocrite.
Parce
qu'enfin, il y a bien un moment où quelque chose se dresse, face au
monde, s'assume sans hésitation, sans restriction, et, se met en
marche. Ce quelque chose, dans la conjugaison de cette langue est
bien manifesté par le "Je".