Des sons, des parfums, rayons de lumière
Et n'en percevoir que ces quelques grains
Que le cerveau a déjà organisés
Et dire le réel !
Ou alors c'est à cause de la misère
Une femme marche dans une ville
Une valise à la main
Et dans l'autre la main d'une fillette
Elle ne sait où dormir, rien à manger
Non loin, des bombes pleuvent...
Ou alors c'est à cause du bonheur …