L'arbre
de la vie, en ses racines, en sa ramure
L'arbre
de la vie secoue ses branches
Tu
avais allumé un grand feu
Et
les danses jusqu'au petit matin.
On
se disait encore que cela serait bien triste
Quand
viendrait le moment de la fin
On
se souvenait encore des nuits froides
Où
aucune étoile n'allume la voûte.
On
ne savait pas qu'à ce chant
S'éveillait
ce qui ni commence, ni finit
Ne
pas savoir, ne pas croire, besoin de Voir.
La
musique de Voir
Naître
et mourir en toutes formes de vie
Danser
sur cette musique
De
toute éternité.