C'est
encore vouloir se nourrir de l'énergie
Qui
n'est pas la sienne
Alors
que dans sa relation au monde
Chaque
corps reçoit toute l'énergie
Nécessaire
à accomplir ce qui doit l'être.
C'est
bien cela qu'induit la méprise
Organisée
en consensus
Ainsi
violer la terre
Son
ventre et même ses racines
Et
encore voler son voisin, ses proches.
Le
partage n'est pas la division
Qui
permet l'appropriation
La
dépossession
L'accumulation
Le
véritable partage, multiplie
Chacun
est comblé et c'est pour le monde.