Dans
la conscience de ce lien, "je" ne se sépare pas, pour ensuite
prétendre produire du lien, des passerelles, du bien commun, du
sens. Il participe de cela d'une manière intrinsèque, par sa
respiration tout simplement. Le besoin de s'assurer de la bonne
direction est encore une distorsion résultant de la méprise du
penseur. La question de la preuve appartient au monde du mensonge et
de la cécité qui en résulte.
La
conscience ne sépare en rien, ce n'est pas un cloisonnement dans
notre tête, ou notre corps, dans des conclusions, des opinions, dans
des rapports codifiés où certains incarneraient des rôles
particuliers... La conscience est énergie, la matière est énergie,
il n'y aucune entité séparée, ni en moi, ni dans le monde, ni à
l'origine, ni à la fin.
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