mardi 9 septembre 2014

Le vent

C’est une affaire d’apesanteur
La terre nous colle aux pieds
En tant de labeurs, et de gravité
Les corps douloureux, toujours trop tôt.
 
Nos têtes rêvent, se racontant fables et autres fantaisies
Elles ne nous portent pas bien loin
Elles sont vides !
 
Du vent, souffle vivant…
 
Je n’attrape rien dans mes filets
Oui, regarde comme c’est bien
Tout a filé... 
 

 

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