C’est
une affaire d’apesanteur
La
terre nous colle aux pieds
En
tant de labeurs, et de gravité
Les
corps douloureux, toujours trop tôt.
Nos
têtes rêvent, se racontant fables et autres fantaisies
Elles
ne nous portent pas bien loin
Elles
sont vides !
Du
vent, souffle vivant…
Je
n’attrape rien dans mes filets
Oui,
regarde comme c’est bien
Tout
a filé...
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