Un
joli visage derrière les vitres qui pleurent...
Il
y a cette chose insensée
Qui
fait qu'on ne cesse de consoler, se consoler
D'une
peine, mais quelle peine ?
Il
y a ce que l'on peut changer et le faire
Il
y a ce qu'on ne peut pas changer et alors
A
quoi bon être triste ?
Se
laisser aller au-delà de ce que le corps
Le
travail du corps accomplit dans la vie !
Voilà
encore un effet de la séparation en esprit
L'autre
face du désir si puissant, maîtriser le vivant
Le
laisser-aller !
La
mélancolie, comme un état tout à fait sérieux
Qui
appartiendrait à la poésie du vivant.
Mélancolie
RépondreSupprimercataracte
majestueuse ampleur
qui laisse aller
venir
revenir.
C'est bien ça le mouvement de la mélancolie...va et vient de la main, tout en restant endormi... pas tout à fait vivant, mais en si grande mélancolie...
RépondreSupprimero)))
Tempo- dans- le- monde oublieux du monde.
RépondreSupprimerUn monde endormi dans sa propre contemplation...
RépondreSupprimerou un monde frémissant d'éveils, de correspondances et de réminiscences, dans un monde endormi...
RépondreSupprimerOn ne saurait être endormi et éveillé. Dans le monde endormi, le frémissement est encore du sommeil. Mélancolique est le rêve de celui qui ne veut pas, ou ne peut pas s'éveiller. Peu d'énergie dans la mélancolie !
RépondreSupprimerUn volcan en sommeil ne contient pas peu d'énergie.
RépondreSupprimerNous disons le volcan endormi et le volcan qui s'éveille, comme s'il y avait deux volcans, deux mondes...
RépondreSupprimerEncore une bizarrerie de nos esprits déconnectés. o))))