Un
joli visage derrière les vitres qui pleurent...
Il
y a cette chose insensée
Qui
fait qu'on ne cesse de consoler, se consoler
D'une
peine, mais quelle peine ?
Il
y a ce que l'on peut changer et le faire
Il
y a ce qu'on ne peut pas changer et alors
A
quoi bon être triste ?
Se
laisser aller au-delà de ce que le corps
Le
travail du corps accomplit dans la vie !
Voilà
encore un effet de la séparation en esprit
L'autre
face du désir si puissant, maîtriser le vivant
Le
laisser-aller !
La
mélancolie, comme un état tout à fait sérieux
Qui
appartiendrait à la poésie du vivant.