Souvenir
de ces mots de toi, ce ne furent pas les premiers, mais ils parlaient
si fort à l'autre côté. Tu me disais... et par-dessus les océans
et les déserts qui nous font toi là-bas et moi ici, je voyais ton
air moqueur et mon agacement... tu disais : « Moi, je
crois que c'est encore l'ego qui dit qu'il n'y a rien au-delà ».
On
peut lui donner un tas de noms à celui-là, c'est bien toujours la
même chose qui est montré au bout du doigt, cet empêchement qui ne
cesse de s'auto-justifier, ce mensonge qui se prend pour vérité,
cette illusion qui dit la réalité.
Je ne sais que dire... mais peut-être est-ce un bien. Juste écouter parfois, pour mieux entendre.
RépondreSupprimerOui, l'écoute... est silencieuse.
RépondreSupprimerDouce nuit à toi, Ariaga
"Oui, l'écoute... est silencieuse."
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