Tu
disais : « Celui qui marche vers nulle part … »
Et ce n’est pas être perdu
Retrouver
le sens du vivant
Ce
n’est pas être ballotté par les événements
C’est
habiter ici et maintenant, sans tension
L’air
vibre des chants des oiseaux.
Avoir
traversé
La
ravine, de roches, de végétaux
Et
ces immondices, jetées ici et partout
Par
ces inconscients, ignorants, méprisants
Qu’on
appelle : les gens !
Grimper,
redescendre
Graffiner
cuisses et mollets
Atteindre
le plus haut point
Découvrir
le plateau
Il
touche le ciel
Lumière !
Comment
cela peut-il être, aussi doux
Aussi
beau, vaste et vivant
En
celui-ci ?
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