Il
y a dans cet état, ici nommé désespérance, quelque chose
d'absolument définitif, dont on ne cherche ni à guérir, ni à se
consoler, surtout ne pas se plaindre.
Une
solitude d'une grande austérité qui ne retient rien. Être au bout,
après, il n'y a plus d'après. Alors dans ce mariage noir auquel on
ne résiste pas, il se passe autre chose...
Une
forme de détachement qui n'est pas indifférence, juste qu'il n'y a
plus de différence entre ceci et cela, juste l'intensité.
"Le désespoir est assis sur un banc", écrivait Jacques Prévert.
RépondreSupprimerOn a beau ne pas vouloir le rejoindre, son regard nous appelle, et, sans rien dire, il peut nous contraindre à l'accepter.
Une amie récemment me disait "je ne sers plus à rien"...
C'est à ce moment-là qu'il faut trouver les mots et que parfois le silence est la pire des solutions.
Peut-on encore trouver la force de vivre alors qu'on a tout perdu de ce qui était sa raison ?
Bonne journée, Miche.
Une porte ... http://chou-genou-caillou.blogspot.com/2015/09/des-portes.html
RépondreSupprimerAh Miche toute la puissance de VOIR ce qui Est !
RépondreSupprimerC'est ça ! plus de fuite d'énergie !
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