Il
y a dans cet état, ici nommé désespérance, quelque chose
d'absolument définitif, dont on ne cherche ni à guérir, ni à se
consoler, surtout ne pas se plaindre.
Une
solitude d'une grande austérité qui ne retient rien. Être au bout,
après, il n'y a plus d'après. Alors dans ce mariage noir auquel on
ne résiste pas, il se passe autre chose...
Une
forme de détachement qui n'est pas indifférence, juste qu'il n'y a
plus de différence entre ceci et cela, juste l'intensité.