Ah,
les enfers !
Ceux
que tu crains si fort
Regarde
tu les as laissés entrer
En
ton corps, en ton esprit
Ton temple profané
Ma
pauvre mère !
Je
ne peux rien pour toi
Et
toi, tu ne le sais pas
Tu
cours encore après tes chimères
L'autre,
ton objet, ta chose à toi
Ta
possession, ta rémission.
Si
je te parle de cette autre façon
Tu
n'entends pas
Je
te retrouve toujours au même endroit
Avec
tes gros yeux de colère
Gris
comme ce ciel de plomb
Je
ne peux rien pour toi
Et
toi, tu ne le sais pas.
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