Tu
me dis que je ne sens pas bon.
Oui
ça ce n'est pas nouveau.
Tu
me dis que je ne suis pas à la hauteur.
Ça
aussi, ce n'est pas nouveau.
Une
fois, un jour de rentrée en Septembre, j'avais renversé le bol de
café au lait sur la jolie jupe plissée, je la vois encore, un pied
de poule en dégradé de gris, c'était assez joli. Bon sang, quelle
furie ! « On va dire, tiens c'est la gou... qui pue,
etc. ». La même que l'enfant de deux ans, regardait muette,
position du témoin silencieux, « Qu'est-ce que c'est que ce
monde-là ! Et ces gens ??? »
Et
puis, il y a eu le Jésus, marcher avec lui... on connaît la suite
de l'histoire.
Je
devrai bien pleurer, retomber dans les plis de la désespérance ?
Non,
c'est là, en moi, la douce vibration, le chant du monde, la peau de
cochon tendue qui parle avec ses bourreaux. La force ne quitte
pas, ni née, ni à naître, au-delà des consolations, là où la
confiance n'est pas le contraire de la défiance.
L'énergie met un terme aux blessures du passé !
RépondreSupprimeroui, l'énergie et rien d'autre !
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