Surtout
ne compte pas sur eux, dans la tempête !
Si
un moment ils ont fait corps contre toi alors que le calme régnait
encore, que cela n'a plus que l'effet de te faire rire aux éclats,
et alors tu leur as crié : « Nini peau de chien ! »
Ils t'ont regardé, tout d'accord !
Si
cela ils l'ont fait sans effet, dans la tempête les voici, en ordre
dispersé, se lamentant, hurlant comme des âmes damnées, dispersés
aux quatre vents.
Ne
compte que sur toi, la force en toi, la lumière, cette lumière
intérieure, si étonnante, qui fait certains corps ensemble, les
corps des amoureux, et les autres tous dehors dans la tourmente. Plus
l'heure de les plaindre, la plainte a cessé à tout jamais.
Lynchage et panique ont même origine.
RépondreSupprimerC'est encore une histoire de plainte, ici la plainte a cessé.
SupprimerPar plainte, faut-il entendre pitié?
SupprimerEntendre la plainte, peux-t-on entendre la pitié ?
SupprimerNe compte que sur toi, c'est une bonne devise pour ne pas être déçue.
RépondreSupprimerAh, on peut encore être déçu par soi-même. o)))
Supprimer¨La pitié rend l'air lourd à toutes les âmes libres¨
RépondreSupprimerBen voilà !
SupprimerLe lieu sans pitié...
Parfois ça fait malgré tout du bien de pouvoir compter sur d'autres... Soi n'est pas toujours assez.
RépondreSupprimerLolll, Quichottine ! Je préfère ne pas compter...
RépondreSupprimerAmicales pensées.
"Ne compte que sur toi, la force en toi, la lumière, cette lumière intérieure, si étonnante, qui fait certains corps ensemble, les corps des amoureux, et les autres tous dehors dans la tourmente. Plus l'heure de les plaindre, la plainte a cessé à tout jamais."
RépondreSupprimeroui !
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