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Juillet, défilé de toutes les armées
Sur
la chaussée, dans le ciel
Devant
un pare-terre choisi.
Franchement ?
Envie de gerber !
Parce
que tu vois ce que je vois ?
Tous
les enfants blessés et les mères
Et
les réfugiés rejetés avec tant de haine
Ou
d'indifférence c'est pareil.
Je crois que certains n'ont même pas conscience du mal qu'ils font, pas seulement à ceux qu'ils tuent, mais à ceux qu'ils devraient protéger...
RépondreSupprimerJe n'ai plus de mots devant la barbarie des hommes.
La barbarie des hommes ne date pas de ce jour, elle est à l’œuvre chaque jour.
RépondreSupprimerJe suis d'accord. A l'échelle du monde elle n'a jamais cessé de faire des victimes... mais faut-il pour autant l'accepter ?
RépondreSupprimerQui parle de l'accepter ?
RépondreSupprimerPas toi bien sûr... :)
RépondreSupprimerJe dis seulement que le constat historique ne doit pas être une excuse.
Passe une douce journée Miche.
Oui, Quichottine, ce qui se dit aussi très souvent c'est : on n'y peut rien c'est la nature humaine !
RépondreSupprimerLa question est d'importance : "qui parle de l'accepter ?"
Le consensus, et à chaque fois que nous adhérons au consensus (moi aussi) nous sommes dans cette acceptation sans même en avoir conscience.
Douce journée à toi aussi.