– Alors,
tu ne fais confiance ni à la police, ni au gouvernement, ni aux
syndicats, ni aux médecins, tu ne fais confiance à personne !
– Je
ne fais confiance à aucune institution, à aucun représentant de
ces institutions, à aucune personne qui se revendique d'un statut,
d'une spécialisation, les experts !
– Mais
si tu es malade !
– Voilà,
c'est ça. J'ai repensé jusqu'à la maladie, ne pas me séparer de
ce que le corps dit, je suis ce corps, mon esprit n'est pas séparé,
il est ce corps, nous avons plusieurs corps. Et puis le jeûne, la
puissance curative, purificatrice du jeûne. Il y a des années
maintenant que je me soigne en jeûnant, à chaque fois c'est plus
profond...
Je
la regarde avec les yeux du dedans, elle est en colère, elle ne
comprend pas, ne veut surtout pas être contaminée, c'est
dangereux ! Pour elle, c'est dangereux, je suis donc dangereuse.
Ce qu'elle ne sait pas, c'est que ce qu'elle prend pour un sentiment
de confiance, et cela lui fera dire « J'ai confiance en
l'humanité, moi ! », n'est autre que la peur de Voir la
réalité de ce système mensonger. Et les voilà à travailler,
gagner des sous, payer des impôts, tellement d'impôts, les enfants
à l'école, c'est une course que le meilleur gagne ! Et tous
viennent s'écraser contre la palissade, les voilà vieillissant, les
voilà vieux, les voilà malades, et voilà la mort.
Oui, la peur de ne plus faire partie, mais partie de quoi ?
RépondreSupprimerOui, folie que cela que nous faisons partie, tout autant que nous sommes le tout !
SupprimerMais voilà le penseur se pensant séparé imagine qu'il pourrait être exclu ...