Hier,
nous avons vu à quel point tout concept (un concept produit un
effet) devient nocif lorsqu'il n'est plus une dynamique, qu'il n'est
plus vivant donc.
Par
exemple la tolérance, comme l'homme ancien la pratique, ne fait que
des "chacun chez soi", des frontières défensives et
bientôt agressives. On ne saurait confondre le" chacun chez
soi", avec se tenir en son centre, en son axe, en sa
verticalité.
La
tolérance rendue au mouvement d'ouverture qui est le sien, qui ne se
peut que dans la rencontre de l'étranger, est sans fin, libératrice.
Voilà
le chemin de l'homme nouveau, il est devenu ce chemin.
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