samedi 27 août 2016

De l'homme et de son chemin

Hier, nous avons vu à quel point tout concept (un concept produit un effet) devient nocif lorsqu'il n'est plus une dynamique, qu'il n'est plus vivant donc. 
Par exemple la tolérance, comme l'homme ancien la pratique, ne fait que des "chacun chez soi", des frontières défensives et bientôt agressives. On ne saurait confondre le" chacun chez soi", avec se tenir en son centre, en son axe, en sa verticalité.
La tolérance rendue au mouvement d'ouverture qui est le sien, qui ne se peut que dans la rencontre de l'étranger, est sans fin, libératrice.

Voilà le chemin de l'homme nouveau, il est devenu ce chemin.


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