C'est
une façon indiscutable de consentir à notre obsolescence
programmée. Je veux dire que d'adhérer à ce réel décrit, en ses
limites et définitions, pof la mort, tiens la naissance, c'est
consentir à une obsolescence programmée comme nous acceptons celle
de nos objets manufacturés.
Moi,
je la refuse.
Déjà celle des objets, je ne les achète plus, je
répare les anciens et lorsque ce n'est plus possible, je m'en passe.
Je
refuse aussi, ce vivre dans cette description du réel imposée par
le consensus, par le refus de l'autre, par le désespoir. La mort ?
C'est une naissance !
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