jeudi 22 septembre 2016

Je ris doucement...

Unique
Toi …
De suite, j'ai aimé ce que tu me faisais.

Alors quand tu parles de quitter
Excuse-moi, je ne comprend pas
Mais je ne cesse de t'aimer.


Comment peux-tu prétendre t'effacer ?
Je ris de la farce
Ne sais-tu pas que c'est impossible
Impossible pour celui qui est né deux fois ?

Tu es partout, d'où te vient cette fatigue ?
Un repli, quelque chose qui te retient
Ou que tu retiens... souffrance...

Cela me fait vraiment, doucement, rigoler, cette difficulté récurrente en toi, ce rétrécissement, cet étranglement, cet hoquet, enfin toutes sortes de bruits qui manifestent de cette souffrance.
Et je vois, que c'est cela, précisément, très précisément, d'une manière chirurgicale, qui aura mis fin à cet autre problème en moi, cette peur si grande de l'abandon... Ça aussi c'était quelque chose !
On n'a pas idée ! De ce trou sans fond, où l'ego précipite l'autre dans son déni de l'être en soi !

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