jeudi 15 septembre 2016

Sans commune mesure

Alors les grands massacres
Condamner la vie sauvage
C'est déjà trop tard.

Reste la souterraine
Le chant de la nature
En les cellules.

Je porte cet amour
Sur l'autre rive
Et si par mégarde
Je devais revenir
Je n'oublierai rien
De ce que j'ai appris ici.

2 commentaires:

  1. Projet ambitieux que celui de ne rien oublier ! :)

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  2. Oh, anonyme à ras les pâquerettes !
    Je pourrai évoquer les souvenirs nombreux des transmigrations et autres manifestations des mondes parallèles, mais bon !
    Je vous laisse à vos occupations.

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