Alors
les grands massacres
Condamner
la vie sauvage
C'est
déjà trop tard.
Reste
la souterraine
Le
chant de la nature
En
les cellules.
Je
porte cet amour
Sur
l'autre rive
Et
si par mégarde
Je
devais revenir
Je
n'oublierai rien
De
ce que j'ai appris ici.
Projet ambitieux que celui de ne rien oublier ! :)
RépondreSupprimerOh, anonyme à ras les pâquerettes !
RépondreSupprimerJe pourrai évoquer les souvenirs nombreux des transmigrations et autres manifestations des mondes parallèles, mais bon !
Je vous laisse à vos occupations.